Ou Acheter Truffe : Comment calculer le nombre de commerciaux nécessai…
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작성자 Lesli 댓글 0건 조회 0회 작성일 24-10-04 12:13본문
La maturité se reconnaît a la teinte jaune des tiges et des feuilles ; quand même cet indice n’avertirait pas que l’époque de la récolte est arrivée, on devrait néanmoins arracher les morelles si une gelée avait bruni les tiges. On ignore encore la cause de cette maladie, qui, du reste, ne se montre pas souvent. Il n’est pas besoin de dire que cette opération se fait à la main et à la bêche. Les tubercules sont aussi sujets à quelques maladies, notamment à une espèce d’ulcère qui attaque leur surface, et qui n’est pas encore bien connu ; on l’attribue aux principes ammoniacaux ou alcalins des fumiers, et on ne peut y remédier qu’en changeant la semence ou le terrain. § x. - Maladies, animaux nuisibles, soustraction des fleurs et des feuilles. Soustraction des feuilles. - Si c’est par les racines que les plantes s’assimilent les élémens de fertilité que contient le sol, c’est par les feuilles qu’elles exploitent les couches atmosphériques à leur profit. Le rôle guide ultime des truffes arbres en ce cas est par leurs racines d’ameublir le sol au degré voulu, par leurs feuilles de lui distribuer avec plus ou moins de parcimonie la chaleur, la lumière, l’humidité.
Dans cette opération, les planches larges s’élèvent au moins de deux pouces, Fraîche Tuber Brumale tandis que les fossés qui fournissent la terre et qui sont de moitié moins larges, s’abaissent au moins de 4. Les fossés se trouvent donc déjà de 6 à 7 pouces de profondeur. ½ de large, de manière que le champ présente successivement un espace de 2 pieds et un espace de 5 pieds ; ou un espace de 2 pieds ½ et de 6 pieds : on brise alors les mottes de terre sur les grands espaces, et quand il s’y trouve quelque inégalité, on prend pour les remplir la terre du petit espace ; de manière que le champ commence à présenter des planches larges de 5 ou 6 pieds, entrecoupés de fossés de 2 pieds et plus de largeur. Elle est singulière, et, malgré la grande perte de terrain qu’elle parait occasioner, elle donne autant de produits et souvent bien davantage que les autres méthodes : elle est la même dans la culture en grand et dans la culture en petit. Le petit nombre de tubercules que produisent ces plantes, mortes avant le temps, ont une saveur désagréable, parce qu’ils ne sont point mûrs, et sont impropres à l’alimentation de l’homme, parce qu’après avoir été mangés, ils laissent dans la gorge une substance acre qui en lèse les parois, propriété commune à beaucoup de végétaux récoltés avant maturité.
Si l’on fume en couverture ou avec des engrais liquides, on doit le faire avant que les premières pousses paraissent. La première façon que l’on donne aux pommes-de-terre après leur levée, est un sarclage avec le sarcloir à main. La seconde est un sarclage et butage en même temps, et c’est encore la terre du fossé qui sert à couvrir les jeunes plants d’une couche de terre épaisse d’un pouce et demi à deux pouces. » On porte alors le fumier sur les planches, on l’y étend ; on place les pommes-de-terre entières ou coupées dessus le fumier, et ensuite on les couvre d’une couche de terre de deux pouces environ d’épaisseur que l’on prend dans le fossé. » Malgré cette perte énorme de terrain, les récoltes que l’on a par cette culture sont en général plus abondantes que celles obtenues de toute autre manière ; et plusieurs cultivateurs irlandais instruits, qui ont tenté la culture en rayons, sont revenus à cette culture, qu’on appelle par lits ou par couches. Cette méthode peut amuser l’amateur et l’horticulteur ; mais, quoi qu’on en ait dit dans ces derniers temps, elle ne mérite pas d’être prise sérieusement en considération par le cultivateur.
’est pas par irréligion, car nous sommes tous religieux. Le premier procédé est pratiqué généralement dans la petite culture, et même par la grande dans les contrées où les cultivateurs ne connaissent pas les charrues à arracher les plantes tuberculeuses. » L’avantage de cette manière de cultiver la pomme-de-terre dans les terrains humides n’est pas douteux ; j’ai vu beaucoup de terrains à tourbes nourrir, par cette méthode, d’abord leurs malheureux ouvriers, ensuite des cochons et des vaches, et enfin rendre ces terrains propres à quelques maigres récoltes d’avoine, et même de blé dans les parties les moins mauvaises. Plusieurs faits prouvent que certaines espèces de pommes-de-terre sont plus exposées que d’autres à la frisolée ; cette maladie fait moins de ravages sur les montagnes que dans les plaines et dans les bas-fonds. Des faits bien observés ont détruit l’opinion émise par plusieurs cultivateurs, que les tubercules récoltés avant maturité ont une influence malfaisante sur la santé des consommateurs.
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