Truffe Prix : Quelle est la durée d'un deuil ?
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작성자 Emilia Sherrard 댓글 0건 조회 0회 작성일 24-10-18 18:59본문
Cette observation nous paraît avoir cet intérêt qu’elle explique que pour féconder le nombre assez grand des ovules (en moyenne 300), il n’est pas besoin d’un aussi grand nombre de grains de pollen, si ceux-ci ont la faculté d’émettre plusieurs tubes fécondateurs. Les grains de pollen ou utricules polliniques se forment dans ces loges et s’échappent au fur et à mesure de leur mise en liberté par les pores terminaux de l’anthère. Nous avons vu que chaque grain de pollen peut émettre plusieurs tubes fécondateurs. Schacht nous le montre composé de deux parties, dont la plus extérieure est formée par du liège : ces cellules subéreuses reposent immédiatement sur celles du tissu générateur, dans lesquelles se trouvent le suc diversement coloré qui produit la teinte du tubercule, jaunâtre, rose, rouge ou violacée, suivant l’intensité de la matière colorante. Les tubercules exposés à la lumière verdissent ou brunissent, suivant qu’ils sont jaunâtres ou d’un rouge plus ou moins violacé. Pour le dressage du saumon froid, on peut enlever la peau pour mettre les chairs à nu et le décorer plus aisément ; mais le vrai gourmet préférera toujours qu’il lui soit présenté couvert de sa robe argentée.
Il y a dans les arbres deux choses : d’un côté les élémens essentiels de l’organisme de la plante, de l’autre les matériaux de remplissage qui établissent la solidarité des diverses parties qui la composent, et consolident l’édifice végétal à mesure qu’il s’élève. On doit aussi remarquer que le haut du pistil est toujours couvert d’une sorte de membrane ou tunique veloutée, ou qu’il est parsemé d’une liqueur glutineuse, pour mieux conserver la poussiere qui tombe des sommets. Lorsque l’on coupe un tubercule ou qu’un accident lui fait perdre une partie de lui-même, il se forme bientôt sur la blessure ou sur la partie coupée une nouvelle couche subéreuse, aux dépens de l’amidon des cellules voisines, de telle sorte qu’au bout d’un certain temps un nouvel épiderme de protection recouvre toute la surface de la partie disparue et la cicatrise. Ces turions, lorsque le tubercule demeure dans un air sec, se forment lentement, s’allongent peu et présentent à leur base de petites excroissances coniques, blanchâtres ou rougeâtres, suivant les variétés, qui sont les rudiments des futures radicelles.
» Dans les Cévennes, les Pommes de terre firent leur apparition vers 1774, si l’on truffes noires en tranches et huile de truffe blanche croit ce passage de Loiseleur-Deslongchamps de 1824 : « Ce n’est que depuis une cinquantaine d’années qu’on les connaît dans les montagnes des Cévennes où elles sont aujourd’hui la base de la nourriture du peuple ». M. Hariot a publié une Note dans le Journal de la Société d’Horticulture de France de 1893, de laquelle il résulte que le 23 nivôse, an II, la Convention avait publié un Décret chargeant le Représentant du peuple en mission près les Côtes de Brest et de Lorient de faire cultiver la Pomme de terre dans les Départements du Finistère, du Morbihan, des Côtes-du-Nord et de l’Ille-et-Vilaine. » Ces citations ne confirment-elles pas l’assertion émise par M. Pépin, au sein de la Société centrale d’Agriculture, qu’encore au commencement du siècle, la Pomme de terre était cultivée à Paris, surtout pour les animaux ?
» Quant au Département de la Sarthe, M. Deslandes donnait, en 1809, le renseignement suivant : « Il y a cinquante ans que l’on connaissait à peine les Pommes de terre : elles y furent répandues par les soins et l’exemple guide ultime des truffes grands propriétaires et surtout des curés. » Le progrès avait été plus rapide dans des localités peu éloignées, car le baron Trouvé écrivait, dès 1818, dans sa Description du Département de l’Aude : « La Pomme de terre est celle de ces cultures qui se pratique avec le plus de succès surtout dans la Montagne truffes noire lisse, dans l’Arrondissement de Limoux et dans les Corbières. » La Pomme de terre n’est guère qu’incidemment mentionnée dans la Description du Département du Tarn par Massol, en 1818, l’auteur se bornant à dire qu’elle est cultivée dans les Cantons de Saint-Àmans-Labastide, de Mazamet et dans le bourg de Valence ; il spécifie cependant qu’on récolte beaucoup de Pommes de terre dans le canton d’Angles.